En Chine, il y eut trois grandes doctrines philosophiques et religieuses, deux d'origines Chinoise qui sont le Taoïsme et le Confucianisme, et une d'origine indienne qui est le Bouddhisme.

Ces trois pensées Chinoises sont apparues au VI ème siècle av. J.C., ils ont pris leur source sur la théorie des arts martiaux. Ce sont des moines bouddhistes et Taoïstes qui ont pratiqué les premières les boxes Chinoises. Il en découla un art pacifiste et moral qui a évolué au fil du temps en art martial. 
 
L'objectif secret ou moins secret pour d'autre, d'un pratiquant d'art martial réside dans le désir d'acquérir une force mentale et physique pour pouvoir faire fasse à n'importe quelles agressions de la vie quotidienne. De nos jours, la pratique martiale appelée encore art de la guerre, a bien changé car il est pratiqué en temps de paix. Cela consiste entre autre à apprendre un certains nombres de règles, comme si on était dans la vie quotidienne telle que le salut, le respect d'abord des autres, ensuite de soi. Ensuite vient la maîtrise de son corps. Le combat vient après, il consiste à mettre en pratique tout ce que l'on a appris face à son adversaire, et ce bien sur, dans les règles de l'art martial que l'on a choisi. Au jour d'aujourd'hui, les blessures sont le plus souvent intérieurs que extérieurs, c'est pour cela qu'il est important de garder son esprit fort pour ne pas se faire déstabiliser et être en harmonie avec son corps. L'art martial y contribue. 
Maintenant je vais expliquer plus en détail, les trais importants que je vois dans les arts martiaux. 
 
Le pratiquant d'art martial, en dehors de ses quelques entraînements par semaine, peut en dehors de Dojo  ou Dojang  
(pour le taekwondo), essayé de méditer sur les autres aspects que permet une pratique plus régulière de son art. 
En effet, la vie quotidienne est un combat de tous les instants. De nos jours on combat contre l'adversité, la maladie, la mort d'un proche, le maintien de son emploi. L'art martial permet de relativiser, de passer à une autre forme de pensée sans pour autant se cacher le visage comme pourrait faire l'autruche. Il est bon d'avoir une occupation ou l'on se dépense physiquement. 
 
La fatigue physique est bien meilleure que la fatigue mentale. Chaque moment de sa pratique, chaque effort, chaque épreuve, chaque goutte de sueur versée, chaque instant de souffrance constituera la préparation à cette confrontation avec la vie. La réaction d'une personne face à une épreuve, un geste, une phrase peut être en fonction de sa personnalité ainsi que de son esprit. L'art martial permet de faire évoluer son corps, comme il est aussi bien capable de faire évoluer la pensé du pratiquant. Au début de la pratique, le débutant n'a aucune technicité, juste des reflex comme chacun d'entre nous. Il va apprendre à les maîtrisés en comblant chacune de ses lacunes. 
 
L'art martial possède, parmi de nombreuses richesses, la faculté de conduire d'une vulnérabilité vers une certaine forme 
d’invulnérabilités mentales ou physiques. Dans le cas bien sur si l'entraînement est très varié, complet et régulier. 
Il est bien sur évident que les arts martiaux sont pratiqués seule, comme dans de bien nombreux domaines de la vie. 
Tous les gestes, aussi subtils qu'ils soient, positions gestuelles, mouvement de pieds, de mains, la stabilité du corps, tout cela contribue à vaincre son ennemi ou son adversaire. Comme tout « sport » individuelle, cela permet dans un combat, de passer outre son désir d'abandonner, de combattre son orgueil ainsi que son ego. Certaine de ces valeurs pourront êtres utiles dans la vie de tous les jours, bien que les problèmes rencontrés ne soient pas les mêmes. 
 
Dans un art guerrier, ou dans la guerre elle-même, il y a les ennemis, mais il y a aussi les amis. Dans la pratique de l'art 
martial, on apprend aussi l'entraide, la solidarité. Un adversaire cherche seulement à nous vaincre, à l'inverse, un partenaire cherche avant tout à nous faire progresser, cela est une nécessité. Il est évident que, dans un art martial, chaque partenaire cherchera à développer et à faire travailler cher l'autre ses capacité mentales, comme le courage, la volonté, la résistance face à l'effort. 
 
Dans ce but bien précis, le partenaire sera relativement dur avec l'autre, mais également pour rendre les situations plus 
réalistes. Dans un combat factice, les deux adversaires prennent un état d'esprit de compétition, où seule la victoire compte.
 
Le moindre manque de vigilance, paie durement. 
  

 

 

Les photos nous montre deux moines de Shaolin à l'entraînement

 

 





 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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